Vous avez dit facilité ?
Et oui, auto-héberger des services sur un serveur pour des utilisateurs nécessite quelques connaissances informatiques qui peuvent en rebuter plus d'un, surtout dans le monde unix ! C'est pour cela que KerHost va vous simplifier la tâche.
Comment ça marche ?
D'abord, vous devez disposer (physiquement ou non) d'un serveur :
Si vous disposez d'un serveur à la maison (ce qui est la meilleure des solutions parce que vous disposez d'un contrôle total du serveur), vous noterez ces quelques impératifs :
Dans le cas d'un serveur hébergé dans un data-center (Online.net…) KerHost est beaucoup plus simple à utiliser parce qu'en général les serveurs proposés sont de vrais serveurs, avec de gros tuyaux derrière. En revanche, vous ne possédez pas physiquement le serveur. Vous êtes à la merci de votre hébergeur en cas de problème (technique ou non).
Une fois que vous avez réglé le problème de l'hébergement du serveur, installer KerHost est quasiment un jeu d'enfant si vous disposez de quelques fondamentaux unix. Oui, KerHost ne tourne que sous unix (sous Debian plus exactement !), logiciel libre oblige. Passez votre chemin si vous espérez faire tourner KerHost sous Microsoft ou Apple. Donc, savoir utiliser la console est obligatoire, tout comme une connexion SSH. Une fois votre OS déployé et opérationnel (voir pré-requis), il vous suffit de vous connecter dessus en SSH, de lancer une ligne de commande sur le terminal, de répondre à quelques questions et de vous laisser guider par l'installeur (voir installation).
Voilà, c'est très simple. Le script d'installation déploie automatiquement les couches logiciels et les configure automatiquement, de façon à ce que l'administrateur ne mette à aucun moment (durant l'installation hein…) les mains dans le moteur. Le serveur est disponible clé en mains au bout de 15/30 minutes selon le serveur et la connexion internet.